Eh oui vous avez bien lu le titre tout est vrai, pour preuve ce qui suit.
Seniors, seniors OK mais pas n’importent quels seniors! Vous allez voir ce que vous allez voir …
Tout d’abord on y va molo il faut le temps de chauffer la machine par un apéro….
Apéritif des plus tranquilles au son du MARTIN’S JAZZ BAND . Groupe très sympa d’entrée. Musique du style NEW ORLEANS*, airs légèrement chaloupés, gospel ou jazzy d’époque. Des mélodies, certaines connues, mais dont nous ne nous rappelions plus le titre, sont interprétées.
Après ce charmant intermède, comme on dit, “Madame est servie”, replis général (comme si on ne s’en doutait pas) vers le club house où l’orchestre accompagne notre début de repas
Comme à son habitude Sandra, notre animatrice, nous fait le plaisir de rester dans une ambiance TRES JAZZI avec la décoration de table, des notes et des instruments de musique, des touches de couleurs et nous voilà immergés dans un ambiance saoul.
Nous en profitons pour fêter quelques anniversaires …….
Cette fin de repas se poursuit avec les musiciens venant se mêler à nous à nos tables.
Pour continuer la fête une farandole s’organise et peut-être que certains ont mis plus de temps à s’endormir que d’habitude.
Cette soirée est vraiment exceptionnelle, une super ambiance, des gens déchainés, un groupe extra, un repas divin … QUOI demander de plus…….
Mais il y a toujours une fin et notre diva nationale clôture ce festival accompagnée par nos jazzmen
Excellente soirée, avec cela tout est dit. Allez bonne nuit à tous mais vous les jazzmen nous vous attendons de pied ferme pour un prochain spectacle.
*Au début ce style carré appuyé par le contre-temps, repose sur l’improvisation en général de 5 instruments. En 1939il touche une nouvelle population qui donne le NEW ORLEANS REVIVEL. Au début s’il était joué et chanté par des hommes et femmes noires, des blancs viendront avec succès grossir les rangs des jazzmen. Les plus connus sont Louis AMSTRONG, King OLIVER, Sydney BECHET, Albert NICHOLAS et j’en passe. La fin de la dernière guerre permet au jazz de conquérir l’Europe puis le monde entier.