Avec Myriam, leur animatrice, 8 résidents de Montélimar Village prennent, vers 10h30, la route de Mercurol pour une journée découverte de produits du cochon.
En arrivant au restaurant «La Terrine», le ton est donné : tout autour il y a des prés et des cochons de tous âges y paissent tranquillement sans se douter de ce qui les attend.
La table est dressée et un apéritif maison (entre le kir et la sangria en moins sucrée) nous est offert.
Le temps que deux bus arrivent et que leurs occupants (on ne fait pas rôtir un cochon pour peu de personnes) s’installent à table, le repas peut commencer.
Nos séniors apprécient les trois canapés proposés :
– la «ciboule» : sur un lit de purée de tomates,duboudin noir maison parsemé de lardons hachés.
– le «poisson» : toujours sur un lit de tomates des crevettes et des noix de pétoncle
– «le paysan» : même principe avec des champignons au beurre d’ail et des lardons hachés.
Viennent ensuite les terrines :
– celle de canard.
– la caillette.
– les rillettes.
Le tout accompagné de cornichons.
Pour digérer un peu, un temps de pause en chansons nous enchante.
Le fils de la maison entonne des chansons de notre époque (il y a beaucoup de séniors dans la salle) avant que quelques personnes parmi les occupants des bus prennent le relais.
Quand tout le monde a regagné sa place, il est temps alors de découvrir le cochon cuit à la broche et farci de champignons et fines herbes.
Sur sa pique, il sort du four à bois grillé à souhait.
La découpe faite, les morceaux accompagnés de légumes (haricots secs,haricots verts, courgettes, tomates cuites et champignons) rejoignent les tables où chacun est prêt pour la dégustation.
Une sauce au vin arrose le tout pour ceux qui le veulent.
Hum que c’est bon!
Ces morceaux fondants à souhait sont délicieux et d’aucuns de se resservir sans problème.
Tomme de chèvre et fromage blanc précèdent la salade de fruits frais accompagnée de pogne.
Côté boisson, vins blanc, rosé et rouge à volonté, café et clairette de Die arrosent ce très bon repas.
Un peu de danse permet de se dégourdir les jambes pendant que les pognes commandées et le pain cuisent.
Pognes et pain que chacun se fait un plaisir d’acheter pour en ramener à la maison.
Tout ce qu’on a mangé du début à la fin du repas est fait maison.
Ce n’est pas aujourd’hui qu’il fallait faire du régime !
D’ailleurs personne n’y a pensé : ce sera pour demain.
Merci Myriam pour cette journée découverte sans fausse note autour du cochon.
On reprend tous date pour 2020 !
Photos et texte : Josette VITON