Nous les vilains, serfs et autres manants, sommes invités

par la chatelaine CENDR’ A et son preux chevalier servant, JEHAN –LUQUE

)celui-ci revenant victorieux de sa croisade samatanaise.

Nous sommes donc conviés à goûter un délicieux breuvage à base de pêche ou de cassis (c’est l’ancêtre du kir, comme quoi le chamoine n’a peut-être fait que copier).

Des effluves s’échappent de la cuisine pour annoncer qu’il est temps, et les convives se précipitent à table

Tiens des fourchettes et couteaux, cela n’existe pas encore! Encore une sorcellerie. Méfions-nous pour la suite.

Pendant ces agapes le conteur / troubadour, nous relate quelques histoires et ballades

et nous chatouille les oreilles au son de sa veille et de sa cornemuse en peau de mouton. Ils s’en tire plutôt bien car, dans ce château, les mauvais amuseurs étaient précipités dans les douves ou les oubliettes

Avec un dessert maison servi par la chatelaine

admirez au passage le modernisme de l’époque avec la glace à la vanille, Jules VERNE s’invite et nous voilà dans une boîte de nuit aux couleurs psychadéliques, ah! mon dieu le diable est-il là?

Avec un peu d’imagination nous avons traversé les siècles dans tous les sens. Il est dit aussi que quand on viellit on retombe en enfance, eh bien là ne sommes –nous pas heureux d’être redevenus des enfants l’espace d’une soirée!