Les Noëls se suivent chaque année mais ne se ressemblent pas forcément.
C’est le cas le jeudi 14 décembre 2017 aux Sénioriales de Montélimar Village.
Côté décoration du Club House, peu d’innovation : les fournitures sont toujours les mêmes. On change seulement quelques guirlandes de place mais le résultat est joli.
L’après-midi , à partir de 15h30, le spectacle commence avec un peu moins de monde que l’an passé.
La chorale, en nombre réduit pour diverses raisons, interprète des chants de Noël, repris parfois en chœur par les spectateurs.
Le théâtre enchaîne avec le thème du « Sapin » : c’est de circonstance. Comme le décor, il a bien plu. Il faut dire que deux des comédiens aux visages aussi verts que leurs sapins de carton et cachés derrière eux, c’est rigolo.
La danse termine le spectacle. Deux thèmes différents donc deux costumes différents en ont surpris quelques-uns.
Pour permettre les changements entre les différents thèmes, Serge a charmé l’assistance avec sa clarinette.
La fête reprend à 20 heures.
Entre temps chacun est rentré chez lui, peut-être pour se reposer un peu mais surtout pour se vêtir de rouge et noir, thème de la soirée.
Tout comme les tables joliment décorées.
Chacun s’installe selon ses affinités et pour la première fois reste assis : cette fois, on se fait servir !
L’apéritif avec des amuse-gueule consistants et le repas choisi par chacun est servi à table par le traiteur et ses deux serveuses avec gentillesse et sourire.
Quelques intermèdes « danse » permettent d’évacuer un peu de calories avant les fromages.
Une nouveauté vient émailler la soirée.
Le Père Noël ! Il arrive en chair et en os avec sa distribution des cadeaux. Un moment de franche rigolade car ce Père Noël connaît bien quelques traits particuliers des résidents et ne se prive pas de les diffuser !
La bûche traditionnelle, des mandarines et quelques papillottes finissent ce repas d’exception où tout était très bon. Ce Noël passé, que nous réservera celui de 2018 ? Que des bonnes choses à n’en pas douter !
Merci Myriam.
Photos et texte : Josette VITON