Coin, coin,
Du soleil, de la bonne humeur, nous voilà une bonne vingtaine de joyeux lurons, partis pour une belle journée de balade du côté de Condom.
Pour débuter, nous avons visité une ferme conserverie artisanale ( Terre Blanche ) à Saint Puy.
La fermière nous a longuement expliqué que de tout temps les oiseaux migrateurs se gavaient, de façon instinctive, quelques semaines avant l’envol migratoire. Leurs morphologies bien particulière , leurs permettent de digérer ,l’équivalent de trois fois leurs poids, et à leurs corps de stocker l’énergie sous forme de graisse dans leur foi , afin d’être redistribué , selon les besoins , tout au long de leur interminable périple.
Suite à ces explications, nous avons eu droit à une démonstration de gavage de canard, et avons pus constater que cette volaille était ravie des 500grammes de maïs ingurgités en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire.
C’est à ce moment précis que la seule averse de la journée nous à propulsé vers le magasin, ou nous avons goutés les toasts garnis de foi gras, de rillettes de canard et de pâté de canard au poivre vert, accompagné d’un petit vin blanc de pays , pour faire bonne mesure.
Les achats des uns et des autres achevés , nous reprenons la route pour la capitainerie de Condom, ou nous attend avec impatience une gabarre , sur laquelle nous allons naviguer tout au long des méandres de la Baïse.
Une fois tous installer à bord et à table, le navire quitte le quai, et les victuailles les sacs et autres glacières.
Votre serviteur a amené le fameux jambon qu’il a gagné lors de la soirée Basque, et l’a partagé avec tous les copains.
Les plats des uns et des autres passèrent de mains en mains, de sorte que nous nous sommes tous régalés.
Pendant ce pique-nique, nous avons vus défiler les berges de la Baïse, et apprécier le passage des écluses.
De retour au port, R.D.V. Quelques centaines de mètres plus loin, chez un producteur d’Armagnac.
Je ne vais pas vous conter sa visite, qui a déjà fait l’objet d’un précédent blog.
Cette visite terminé, retour au bercail .
Jacques K